Le Congrès de Lyon en janvier, la session nationale des JP en novembre, l’évolution de Responsables vers une formule électronique au 2nd semestre ont ponctué l’année 2011 du MCC et ses comptes.
Comptes Congrès Lyon 2011Pour le Congrès, l’équilibre est assuré grâce aux provisions de 30 k€ constituées chaque année : sur 378 k€ de recettes 59 % proviennent des frais d’inscriptions, 36% de reprises de provisions et 5% de dons et subventions. 73% des dépenses sont affectés aux locaux équipés et à la restauration, les 27% restant étant consacrés à l’animation, la communication, la logistique.
Une bonne maîtrise des coûts, lors de la session nationale des JP, a permis de dégager un bénéfice de 3 k€, donnant lieu à provision pour les activités JP.
Hors Congrès, la baisse des charges (381 k€ pour 472 k€ en 2010) est due essentiellement à l’abandon de la formule tout papier de Responsables, qui a généré une forte diminution des remboursements du MCC à l’USIC (éditrice du journal) au titre des abonnements payants et gratuits (accueil, religieux accompagnateurs…)
Comptes 2011Les ressources du MCC (388 k€ hors Congrès) pour 2011 sont constituées :
— d’une recette exceptionnelle : la transformation en don au MCC de 15 k€ de reliquat d’abonnements à Responsables ancienne formule,
— de ressources qui compensent des dépenses comme les inscriptions aux événements (journées régionales, session JP…), les abonnements payants à Responsables,
— de ressources dont le MCC n’a pas la maîtrise : abandons de frais consentis par des membres en responsabilité (12 k€),
— les cotisations (271 k€), en baisse de 3,6%. Compte tenu des éléments précédents, elles constituent la seule ressource pérenne du mouvement.
Les comptes courants font ainsi apparaître un résultat positif de 7 k€, qui permet de conserver un bilan assaini. Il est cependant fragile puisqu’il dépend de ressources exceptionnelles ou dont le MCC n’a pas la maîtrise. Sans les abandons de frais, ce résultat aurait été de –5 k€. Sans la modification de Responsables, il aurait été de – 17 k€.
Martine Parent, Trésorière nationale