Samedi 4 février départ de Nancy pour un week-end régional du MCC Lorraine. Tout commence bien, covoiturage et ciel bleu. Arrivée à Metz et on se dit que c’est beau ; il faudra prendre le temps de revenir pour visiter cette belle ville. Portés par le chant et la prière, nous rentrons dans le week-end.


La conversion de Paul proposée en ouverture nous interpelle sur nos vies actuelles. Des interventions suivent, qui témoignent de la complexité des enjeux auxquels nous faisons face. Signes aussi que les chrétiens ne restent pas les bras croisés et que l’Espérance continue de nous porter au fil des siècles. Bravo pour ce témoignage triple A qui nous vient d’Annick : elle enseigne dans un collège et replace avec ses collègues le jeune au centre des enjeux. Jeunesse qui fera le monde de demain et qui doit se sentir en confiance.

Suite à cela nous avons la chance comme les années passées, de pouvoir écouter Bernard Bougon. Intervention appuyée entre autres sur un texte riche et qui fait mouche, de Cécile Renouard. Quel plaisir et quelles lumières d’espoir que de pouvoir s’enrichir et se ressourcer de ces propos. On retiendra aussi que oui, Dieu s’intéresse au TGV et que bien faire est différent de faire juste !

Lors de la soirée de prière dans la chapelle du séminaire nous méditons sur les œuvres d’art de Chagall commentées par le chanoine Robert Féry. Sublimes tableaux et vitraux où le dessein de Dieu est présent dans chaque recoin.

Le dimanche matin Bernard Bougon nous rappelle que l’Espérance conduit vers l’Eucharistie. Nous avons ensuite l’occasion d’échanger sur ce que le MCC nous apporte et de débattre sur l’avenir du mouvement.. Et si parfois nous pensons que notre mouvement à tendance à « végéter », les interventions et témoignages tout au long du week-end prouvent que nous sommes bien vivants et que notre mouvement est un lieu où l’on transforme un «catastrophisme éclairé» en une invincible Espérance.

Franck M.