Pour marquer la première grande étape de nos préparatifs du prochain congrès (les 12 et 13 novembre 2016, est-ce nécessaire de le préciser ?!), nous étions une quarantaine réunis à Manrèse à Clamart le 11 novembre.
L’objectif était de faire un premier point sur l’avancée du projet et de donner l’occasion à chacun de porter un regard sur le travail de chaque commission. La méthode mise en place a consisté à se répartir dans des ateliers où on ne s’était pas soi-même investi afin d’apporter un regard neuf. Ainsi un membre de la commission secrétariat a pu s’exprimer sur la liturgie ou sur la communication. Parmi les nombreuses questions qui sont remontées, deux ou trois exemples : comment faire participer les régions, quelle articulation entre parcours et ateliers, l’opportunité d’avoir un porte-parole, etc. ?
Pour parer à tous les risques encourus par ce type d’événement, un audit a été présenté : sécurité des bâtiments et des personnes, échéancier de trésorerie, questions de droit à l’image, etc. ont ainsi été analysés.
Les commissions ont le sentiment d’avoir bien travaillé. Elles sont confiantes et mesurent mieux ce qu’il leur reste à accomplir pour offrir un plateau de choix à notre mouvement.
Un congrès ressemble à une horloge où chaque pièce doit fonctionner pendant 48 heures. Il faut être prêt et exact au rendez-vous. Quand en plus le thème choisi porte sur l’accélération du temps !
Pierre Barrault, secrétaire général