Il est une conviction : le MCC a un rôle à jouer dans la société, dans l’Eglise, et dans le monde. Ce Congrès est l’occasion de prendre publiquement la parole sur un thème d’une actualité brûlante pour nous-mêmes, nos familles, nos collègues, nos amis, nos contemporains. Nous espérons être entendus et nous comptons nous appuyer sur cet événement pour reprendre la parole en 2017.
Il est une espérance : que ce Congrès nous aide à aller aux frontières. En proposant largement autour de nous de participer, nous espérons toucher ceux qui sont à la porte de nos bureaux, de nos villes, de nos églises…
Il est une joie : joie que j’imagine d’ici, celle que nous aurons à célébrer ensemble à la fin du Congrès, à rendre grâce à Dieu de nous avoir mis en mouvement pendant un week-end pour « goûter les choses intérieurement » comme dirait St Ignace. « L’Homme au cœur du mouvement »… le Christ au cœur du MCC, assurément !
Il est une interrogation : à la fin de ce Congrès serons-nous à l’équilibre ? Nous ne cherchons pas à savoir quelle est l’odeur de l’argent, mais à sentir comment fidéliser les membres que vous êtes, comment compter sur votre attachement au mouvement, et ainsi comment mieux trouver les ressources pour investir dans les projets qui nous tiennent à cœur : la convivialité en région, la modernisation de notre communication,…
Voir, entendre, toucher, goûter, sentir… belle occasion que ce Congrès pour déployer les 5 sens du MCC !
[/Claire Degueil, membre du Bureau national et du comité de rédaction/]