En cette période de crise annoncée et d’incertitudes pour l’avenir,
saurons-nous vivre les transformations en misant sur l’avenir ?

1er temps

Questions

Investir ou s’investir ?

Sens de l’investissement, dans quoi,
pour quoi, pour qui ? Pourquoi
investissons-nous ? Pour nos enfants,
la transmission, la retraite ?

Pour être rassurés ? Prenons-nous des
responsabilités associatives, sociales,
ecclésiales ? Quel équilibre
dans notre vie familiale, associative,
professionnelle ?

Quelles sont nos sources d’espérance ?

Quelle perception avons-nous
des situations, de nous-mêmes ?

Quelle image donnons-nous ? Positive
ou négative ? Il y a des personnes avec
lesquelles nous nous sentons bien et
rassurés. Sommes-nous de celles-là ?

À quelles personnes pensons-nous ?
Sommes-nous communicatifs ?

Comment nous préparons-nous
à vivre l’avenir ? Osons-nous investir
dans du lien, faire confiance ? Dans
quoi investissons-nous temps ou argent ?

2ème temps

Temps de lecture

La parabole des talents Mt 25 14–30

3ème temps

Temps de méditation

En pensant aux plus faibles
(handicapés, chômeurs,
personnes isolées)

4ème temps

Comment rendre service ?

Suivre des étudiants loin de chez eux, alphabétisation.

Argent : embaucher pour des petits
travaux chez soi ou dans l’entreprise.

Économie sociale : don aux oeuvres,
investissement dans les « cigales »,
dans une « tontine » pour financer des
jeunes et permettre le remboursement
de prêts aux créateurs d’entreprise,
création ou partage d’activité.

Comment faisons-nous pour
que des projets soient possibles ?

Avons-nous du « culot » ? Le désir
d’avancer coûte que coûte ?

Comment prenons-nous du recul
et donnons-nous sens à notre vie ?

Quels sont nos besoins ? Sommes-nous
prêts à les réduire ? À prendre le risque
d’un travail non salarié ?

Croyons-nous que ce que nous faisons,
ou ce que nous sommes, portera
du fruit ultérieurement, même
si nous ne le voyons pas aujourd’hui ?

Acceptons-nous l’idée d’un échec
possible de nos tentatives ?

5ème temps

Conclusion

L’un des membres de l’équipe conclut
qu’il n’est pas impossible que Dieu
nous apporte récompense à la suite
de l’un de nos « investissements ».

Exemple : après avoir réconforté
une collègue endeuillée, il a reçu
beaucoup d’amitié de sa part.
Il ne nous appartient pas toujours
d’évaluer le retour sur investissement.

Mais c’est à nous d’être réceptifs
et de remercier le Seigneur des joies
dont nous pouvons être comblés.